Chers amis,
Je tiens à vous souhaiter plein de bonnes choses pour 2022, et notamment, comme le veut la coutume, une très bonne santé. Voici donc quelques recommandations en ce sens, toutes basées sur des constats scientifiques :
Evitez les promenades en forêt : les sous-bois regorgent de tiques prêtes à vous tomber dessus. Beaucoup sont porteuses de la maladie de Lyme, une cochonnerie que vous n’avez pas envie d’attraper. Préférez les balades dans les champs.
Evitez les promenades dans les champs : la plupart sont régulièrement aspergés de pesticides, ce qui explique sans doute une espérance de vie plus courte chez les campagnards que chez les citadins. Privilégiez les balades en ville.
Evitez les promenades en ville : l’air y est saturé de particules fines, que l’activité physique fait pénétrer au plus profond de vos bronchioles, avec à la clé un risque de cancer des poumons.
Evitez les bains de mer : un litre d’eau de mer contient plus d’un million de virus. En buvant la tasse, vous avalerez aussi des cyanobactéries, des staphylocoques, des streptocoques, ainsi que des chétognathes (vers sagittaires), des polychètes (vers aquatiques) sans oublier les microplastiques issus des activités humaines. Préférez les bains en piscine.
Evitez les piscines : l’urine des baigneurs provoque une réaction chimique avec le chlore, formant de la trichloramine et du chlorure de cyanogène, des substances dangereuses qui peuvent affecter les poumons, le cœur et le système nerveux central. Privilégiez les baignades en rivière.
Evitez les bains en rivière, très souvent polluées par les rejets des usines situées en amont.
Evitez de boire l’eau du robinet : malgré les traitements, elle contient encore des résidus de médicaments et de pesticides. On peut même y trouver parfois des composants de chimiothérapie. Préférez l’eau en bouteille.
Evitez l’eau en bouteille : les palettes de supermarché sont souvent stockées en plein soleil et sous l’effet de la chaleur, le plastique libère des particules chimiques dans l’eau.
Evitez les claviers d’ordinateurs, qui abritent jusqu’à 7500 bactéries chacun.
Evitez de serrer la main de vos collègues et amis : 80% des maladies infectieuses se transmettent par contact. Sinon, lavez-vous les mains.
Evitez de vous laver les mains moins de 20 secondes, sinon vous n’éliminez pas toutes les bactéries.
Evitez de vous laver les mains plus de 20 secondes : cela détruit le film hydrolipidique de la peau et affaiblit votre système immunitaire.
Evitez de vous essuyer les mains avec une serviette, véritable bouillon de culture.
Evitez d’utiliser les sèche-mains électriques : ils soufflent sur vos mains les bactéries présentes dans l’air.
Evitez de garder les mains non désinfectées : elles abritent jusqu’à 10 000 milliards de bactéries et des virus qui, comme le SARS-CoV 2, peuvent vivre plus de 9 heures sur votre peau. Pour les supprimer, utilisez du gel hydroalcoolique
Méfiez-vous des gels hydroalcooliques : ils amoindrissent la flore cutanée commensale qui participe à vos défenses immunitaires. Certains gels peuvent par ailleurs contenir du benzène, cancérigène connu qui peut provoquer des leucémies, et d’autres, du triclosan ou du triclocarban, suspectés de favoriser le développement du cancer du sein.
Evitez de respirer : en inhalant, entre 17 000 et 400 000 virus pénètrent vos poumons chaque minute.
Evitez l’exercice physique : la ventilation augmentant avec l’effort physique, un simple footing peut vous faire avaler plus de 2 millions de bactéries à la minute.
Evitez l’inactivité : un exercice physique modéré améliore la fonction immunitaire...
Tout ça vous fait peur ? Tant mieux. Vos peurs sont très, très utiles aux intérêts de certains. C’est d’ailleurs le thème de mon prochain livre, "Le Réveil", qui paraîtra le 23 février.
Ah… j’oubliais : si jamais ces conseils, malgré leur fondement scientifique, ne vous inspirent pas, il vous reste une alternative, depuis longtemps oubliée… Cela s’appelle vivre. Tout simplement. Vivre. Et c’est vraiment ce que je vous souhaite pour 2022. Du fond du cœur.
Bien affectueusement,
Laurent Gounelle