Quand vous serez bien vieille au soir à la chandelle
Assise auprès du feu, dévidant et filant
Direz, chantant mes vers en vous émerveillant
Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle.
Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle
Déjà sous le labeur, à demi-sommeillant
Qui au bruit de mon nom ne s'aille réveillant,
Bénissant votre nom de louange éternelle...
Sonnet à compléter par nos lectrices et lecteurs.
"marine poésie est cet ilôt Vésunien
dans l'océan de la connaissance"...