Je me tais et je lis....et je n'aime pas mon destin...et je n'aime pas la pluie permanente des souvenirs...
Passants, voici à votre intention ; AMOR FATI La pluie du matin n'arrête pas le pélerin... Fuyant la Voie Sacrée empruntée par les gueux, En louant Dionysos poètes et marins (1) Aux larmes amères bâtirent Périgueux. Aux calendes, ses arts pour sceller son destin De Rome rivale la firent Bateau-Livre Rivière vestale; héritée du Latin Nous eûmes cent louves; et le mal de vivre. Vésuna sacrifia un Celte et un Germain Et leur sang mélangé, résine de manant Coula vers l'océan loin du cirque inhumain. Aujourd'hui, je me tais, orphelin maintenant. Je me tais et je lis, l'âme bien sereine La Guerre des Gaules...Mémoires d'Hadrien... Sous un pin parasol j'attends que ma reine Ma chère Vésuna renaisse en vain. Pour rien. (1) De la compagnie de Misène affectée au Colosseum Jean-jacques Dallemand Mai 2010
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