L'équipe de IKOUNA cooperative n'a menagé aucun effort. L'experience aidant, apres toutes les actions preliminaires les champs 2019 sont prêts..
Il est temps de mettre en terre les boutures de manioc..
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Notre vision comme celle de "Labienheureuse du terroir" projet terre à terre est d'oeuvrer pour la promotion d'une production agricole locale qui, avec le temps reduirait l'importantion des produits de bases de consommation courante tels le manioc, la banane, la tomate, le riz, et divers fruits et legumes.
L'objet de nos modestes publications sur internet est d'encourager la creation des unuités de production, inciter mais surtout encorager les jeunes à s'interresser au travail de la terre. Le but principal est de reduire a court terme notre dependance en produit alimentaire vis à vis des pays amis. Ce n'est pour autant que nous ne reconnaissons l'avance de ces pays amis en matiere d'agriculture. Car voici plus d'un demi siècle que le Gabon n'a cessé d'experimenter la culture de riz. |
Depuis le mois de Juin les activites ont demarre , le debroussaillage et l'abattage se sont deroules dans des bonnes conditions.
Les équipes demeurent aussi efficaces que par le passé. |
Les hommes et l'oeuvre.
Les. cultures et vite évolué.
On récolte, ce que l'on sème.
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Ces espaces sont reservés à la culture du manioc, de la banane et des ignames.
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L'idée de créer une coopérative est désormais une réalité. La longue période qui a été consacrée, a permis la création d'une activité génératrice d'occpation pour les villageois. Les resultats n'ont pas tardé. Les images en sont la preuve.
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Les bienfaits des premières pluies,pour les villageois de Iwaya la récolte des champignons est la première activité dès que la saison des pluies s'annonce.
(Champignons de la plaine). Champignons de la forêt.
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A present, je suis en ville pour la rentrée après des bonnes vacances au village.
La saison des mangues et des champignons bat son plein au village. Pour les villageois que nous sommes, les premières pluies sont une richesse. Tous se regénerent, c'est une saison d'abondance dont les villageois et villageoises se rejouissent, après des dures travaux champêtres. Il vrai que le passage en ville est de courte durée, on passe plus de temps au village. Le patrimoine ancestral merite d'être entretenu en permanence.
Les villageois ont intérêt à oeuvrer pour assurer la production des biens que leurs offrent la nature et qui servent de produits de subsistance en toutes saisons. |
Tous les consommateurs s'accordent sur un point: le jus de ce fruit augmente votre capital affectif.
Depuis la nuit des temps on le désigne "Fruit de l'émotion" à ne pas confondre avec fruit de la passion. |
Une reflexion est ménée depuis le mois d'octobre 2013 par un comité diplomatique sur la possibilité de promouvoir l'art et la culture de Iwaya.
Le comité entrera en négociation pour un eventuel partenariat avec un village voisin qui se mire au bord du fleuve, comme presenté sur la photo. |
Pour le stock d'oxygène les villageois de Iwaya ont dans leurs environnements des zonnes spéciales.
Des zones classées " ZHQE" depuis des années. |
Les villageois de Iwaya ne font pas de la conservation de la nautre, c'est le seul endroit au monde où la nature fait la conservation des villageois.
C'est un vrai paradoxe pour les écologistes qui s'entêtent à comprendre les mécanismes de la nature et se mettent sur les toîts à proclamer par des grandes pub les moyens de préserver l'environnement. Les terres ancestrales sur lesquelles ce village est né ont des vertus spéciales et les villageois savent faire corps avec la forêt, la plaine et l'eau, qui constituent le socle de la cohabitation naturelle. Au nombre des maux de la ville, un seul semble ne pas trouver de solution " le bruit".
Pour ne citer que celui là, mais il y a ce dramatique problème d'environnement , c à d celui de l'air des villes. Pour nous autres jeunes villageois, le discours sur la protection de l'environnement est un porte feuille pour les ONG, un jackpot pour Org Internat°. Qui dit mieux ? En ville la pub sur la preservation de l'environnement n'est que du pipo, on aura plus jamais de l'air pur. On aura plus jamais de l'air pur comme dans nos villages. et particulièrement comme à Iwaya. |
Je ne sais pas combien de temps il reste pour que les villageois d'Iwaya soient connectés à la fibre optique.
Pour faire simple, depuis le village où je passe plus de temps il est quasi impossible d'animer mon blog. Au village Iwaya il n' y a pas d'internet. Mais, dès que fais un petit tour en ville, je m'efforce de reanimer mon blog. La tradition veut que le village soit toujours en éveille, il faut donc équilibrer les séjours entre la cité et le village.
La fameuse vie moderne ( image) pousse beaucoup de jeunes à abandonner le village. Mais, à Iwaya l'objectif de certains jeunes est de remettre en valeur le village cet héritage ancestral en y consacrant plus de temps dans cet environnement calme et paisible afin de perpétuer les rites et cultures légués par nos ancêtres. En definitive mon blog connait parfois des périodes d'ibernation ne soyez donc surpris, il n' y a pas encore d'internet dans mon village et c'est certainement pas pour demain.. |
Ce modeste calendrier est un souvenir du village iwaya pour le nouvel an .
Ce document est produit par l'équipe de l'UDA'I qui contribue à la promotion des activités du village.
Veuillez l'imprimer avec les compliments de tous les villageois qui vous souhaitent une très bonne anné 2012. >> Voir le PDF |
En réalité j'ai juste le week end pour venir passer ces belles heures au village. Une fois la nostalgie de cet environnement assouvie, je rentre à la capitale pour reprendre le train train quotidien , boulot taxi dodo.
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Pendant le séjour au campement on profite à mettre des signes de présence humaine
En plus de la pêche, l'exploration de ces zones encore vièrges devient une occupation prioritaire pendant ce séjour loin des aires pollués de la cité.
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Destination le campement, l'équipe technique fait les essais du yatch avant le décollage.
L'équipage opérationnel
Zone du campement
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Désolé ce blog n"est activé que lors de mes brefs passages à la cité |
Le village est un système complexe, pour y vivre, il faut créer des activités adaptées à l'environnement et perpétuer un mode de vie. |
Dans des zones du village baptisées Zone à Haut Coefficient Environnemental à Pollution Zéro (ZHCE et à PZ ) les visiteurs de l'exposition villageoise sont bercées par le chant des cigales, et le bruit des cascades sur le fleuve.
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Depuis très longtemps l'idée d'exposer certains objets dont disposent les villageois fait des émules autour d'Iwaya. L'exposition se fait au bord du fleuve en pleine air, chaque villagois s'efforce d'expliquer à sa manière les mystères que détient son oeuvre d'art. Au nombre des oeuvres exposées " Le masque du bonheur" et "La tête de couleuvre de la fertilité".
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Le paradis pour moi c'est Iwaya. Le viillage aux multiples donts divins. Donts qui ne peuvent être décrits, mais méritent plutôt d'être vus.
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Tant qu'on a pas vu on a du mal à croire. Iwaya est béni par la nature, les villageois exploitent ces donts divins. Tout à iwaya devrait se passer de commentaires mais l'opportunité qu'offre internet fait en sorte que ces trésors soient au moins présentés virtuellement. Ce qui rassure le plus est la simplicité de traduction des informations qui décrivent les monuments divins du village. |