A propos de la carpe, ce poisson est désigné par les villageois de Iwaya selon sa couleur ( dans le dialecte il existe la carpe PALALA et une autre de couleur sublime désignée PEHETE affichée en image)
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Le silure spécialité de la pèche aux barrages, exclusivement pratiquée par les villageoises.
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Le poisson est un des aliments les plus consommés par les villageois de Iwaya
Les poissons capturés sont selectionés en fonction de la taille, les plus petits sont remis à l'eau pour permettre la reproduction. Au cours des parties de pèche tous les villageois ont le soucis de preserver certaines espèces de poissons. Mais, il semble selon le constat fait par certains villageois que le non respect des IEE réalisées par les experts au compte des réalisations de certains grands travaux dans nos zones de subsistances, ne favorise pas la reproduction de certaines espèces de poissons (voir photo). Bien que impuissants les villageois se contentent de ces productions saisonnières pour assurer des lendemains meilleurs. Les villageois de Iwaya ont l'avantage de consommer des produits frais et de vivre dans un environnement naturel, loin des turbulences imposées par la vie dite moderne des cités et génératrice des maux aux conséquences incalculables sur la santé. |
Il passe au premier plan de l'alimentation des villageois de IWAYA.
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Consommé depuis des générations le manioc restera toujours l'aliment de base à IWAYA.
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Plat derivé du manioc, sous la version feuilles de manioc
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Les feuilles sont pilées avant d'être préparées et consommées en suite.
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Pour les villageois de Iwaya les tubercules de maniocs acompagnent toujours des petits plats spéciaux.
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De tous les temps le manioc restera l'aliment le plus consommé à IWAYA
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Le manioc est bien connu dans la monde, encore plus par sa dérivée pricipale la farine de manioc.
Cet aliment est une énigme, car il est commestible de la racine à la feuille. Les contemporains des villageois d'iWAYA savent bien de quoi je parle. Le mainoc est l'aliment de base à Iwaya , 90% des plats sont accompagnés de l'une de ces dérivées. |
Ce fruit est un coupe faim, les villageois le dégustent pendant les dures parties de pêche ou de chasse, en pleine forêt loin du village.
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La forét tant vénérée par leurs ancêtres est pour eux la seule richesse, la source de toute la production vivrière.
Tout se consomme sur mesure, et la forêt offre naturellement mais surtout gratuitement ces produits, à la grande joie des vacanciers. |
Avec ses méthodes de cuissons Iwaya mérite bien d'être appelé Village endogène.
Paquets de poissons et atangas sur le grill au feu de bois. Encore une fois les ressortissants des zones exotiques saliveront au regard de cette image. |
A Iwaya l'écorce de cet arbre est utilisé comme oignon (ail) dans la cuisson des aliments.
Pour les ressortissants des zones exotiques qui connaissent bien la forêt tropicale, la lecture et la vue de cette image devrait susciter en eux le parfum sublime de cet écorce. |
C'est en rendant visite à un frère que j'ai rencontré ce scientifique qui a pour domaine d'activité la pêche des moules des huitres et les langoustes.
Ceux qui s'interessent à cette activité et qui souhaitent un partenariat avec ce scientifique peuvent le contacter via ce blog. |