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Poursuivons notre visite du musée des mines de fer de Aumetz, commune située en Moselle !
Et suivons, Gérard, notre bien sympathique guide du jour ! Vous pouvez voir ou revoir notre balade d'un jour à Lommerange et Aumetz avec Cécile et Marie-Jo (sur ce lien) ! (12 clichés) 
Au pied de chevalement, une rame de wagons en attente de manoeuvres vers le fond de la mine.
Nous ne montrons pas.....beaucoup trop haut......mais nous pouvons descendre quelques marches afin de nous mettre dans l'ambiance.
Très belle fresque représentant les mineurs sortant du puits après une journée de travail.
Les vestiaires des mineurs très caractéristiques.
Les wagonnets.....transportant le minerai !
Nous arrivons devant le bâtiment qui abrite le treuil à vapeur !
Ce treuil a été utilisé pour le creusement du puits local.
Dans les années 1990, les bénévoles du Musée d’Aumetz ont souhaité qu’il retrouve sa place d’origine. 
L’ancienne menuiserie !
Cette pièce abrite diverses machines et pièces électriques utilisées par la mine.
On peut y voir une bombe volante allemande de type V1. La présence de cette arme provenant des mines d’HUSSIGNY-GOBRANGE rappelle que les allemands en 1943-44 ont exploité les sites miniers de VILLERUPT pour y construire des chaînes de montage de V1. 18 000 prisonniers du camp de THIL étaient chargés de fabriquer ces bombes volantes dans des conditions effroyables. 
La forge !
Les forges et la menuiserie devaient assurer l’élaboration, la maintenance et la réparation du matériel utilisé par les mineurs. Ces activités étaient assurées par des équipes d’ouvriers qualifiés. 
Terminons notre visite par cette seconde statue de Sainte-Barbe !
Fêtée le 4 décembre, Sainte Barbe est la patronne des sapeurs-pompiers, des artificiers, des artilleurs et aussi des mineurs. En Lorraine, terre de mines et de casernes, on se doute que ce personnage a joui d’une aura toute particulière. Mais d’abord, qui était Sainte Barbe ? Selon la tradition chrétienne, Barbe aurait vécu vers le milieu du IIIème siècle, au Liban. Afin de préserver sa virginité, son père, un riche païen d’Héliopolis, l’aurait enfermée dans une tour. C’est là qu’elle se serait convertie à la foi chrétienne par l’intermédiaire d’un prêtre déguisé en médecin. Apprenant cela, le père, fou de rage, aurait torturé la jeune Barbe, avant de lui trancher la tête. La légende dit, en outre que pour avoir tué sa propre fille, il aurait aussitôt été frappé par la foudre. 
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