YAMOUSSOUKRO (200 659 habitants), village natal de Félix HOUPHOUET-BOIGNY, premier président du pays de 1960 à 1993, est la capitale politique du pays depuis 1983. Sa basilique NOTRE DAME DE LA PAIX a été léguée au Vatican qui a accepté le don (son extraterritorialité a été inscrite dans la constitution ivoirienne). Elle dépasse de 17m l’original, Saint-Pierre de ROME, et s’élève à 158m au-dessus de la végétation environnante. Elle comporte d’immenses vitraux à l’ancienne dont l’un représente le visage de l’ancien président. On y accède par une allée de marbre longue de 1km qui traverse 37ha de jardins à la française. Ses dimensions en font le plus grand lieu de culte chrétien de la planète. Ce monument, ainsi que l' HOTEL PRESIDENT, qui domine un vaste parcours de golf, et les écoles d’enseignement supérieur reliées par d’immenses boulevards très peu utilisés, contribue à donner de la ville une impression de gigantisme et de démesure "futuriste". L’aéroport de la ville était le seul du continent africain à pouvoir accueillir le Concorde.
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même moi je découvre! je n'étais pas allée sur cette plage! bizarre bizarre ! comment ça se fait? |
Voici le fameux Hôtel Ivoire dans le quartier rési
dentiel Cocody (J'habitais d'ailleurs pas loin...enfin en voiture lol). Cet hôtel cinq étoiles avec ses 750 chambres a tout ce qu'il faut! une patinoire sur glace, un bowling, sept courts de tennis, un cinéma, un casino, des épiceries de luxe, un night club, des salles de concerts, un grand magasin d'articles d'art...etc |
Visite virtuelle de la cour intérieure et des piscines!
>> http://www.golfhotel-ci.com/vis1/piscine.htm |
A sa place j'aurais pas risquer ma vie pour un poisky en pleine nuit mais bon il fait comme il veut! |
ok il fait pas beau et même orageux! mais j'ai trouvé ça magnifique et impressionnant ! on a l'impression d'être au bout du monde! (on l'est sûrement d'ailleurs, question de point de vue!)
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Pour une population de plus de quatorze millions d’habitants, la Côte d’Ivoire comprend plus de soixante ethnies, une ethnie pouvant se définir comme une communauté se référant à des traditions, des croyances et une langue commune.
Cependant, on a une répartition historique qui est pratique et qui prend en compte une origine géographique présumée identique et une appartenance à un même noyau. On distingue les groupes suivants : Les Malinké, qui viennent des bords du Niger, se sont divisés en deux tronçons : l’un au nord -ouest et l'autre à l’est. On l’appelle groupe Dioula, ce qui n’indique pas une provenance, mais une profession. Le mot Dioula signifie en effet commerçant. Ce sont des marchands Malinké qui se sont également répandus à la fois vers le centre-nord et au nord-est. Le groupe Voltaïque comprend les Sénoufo, placés en sandwich entre les deux groupes Malinké, les Koulango et les Lobi qui se succèdent ou cohabitent dans le Nord-Est. A l’ouest, sous le groupe Malinké, sont répartis les Mandé-Sud . Ils comprennent les Dan ou Yacouba, les Gouro ou Koueni et les Gagou . Ce nom de Mandé, qui est donné parfois aux Malinké, laisserait supposer un vague cousinage entre eux. Pourtant ils n’ont rien de commun, ni l’aspect physique, ni la religion, ni même la provenance, car de nombreux spécialistes considèrent maintenant les Mandé-Sud comme étant probablement plus ou moins des autochtones. Les Krou, dans le Sud-Ouest, viennent du Libéria anglophone. D’ailleurs, dans la région de Tabou, sur la côte, certains sont appelés des Krumen. Ils englobent les Guéré, les Wobé, les Niaboua, les Neyo, les Beté, les Godié, ainsi que les Dida. Mais l’origine de ces derniers semble assez mystérieuse. Car ils se distinguent très fortement des autres Krou par leurs croyances et leurs coutumes. Pour compliquer les choses, les Adioukrou, qui affirment être venus de l’Ouest, se considèrent comme étant des cousins des Dida mais les ethnologues les considèrent en réalité comme des autochtones. Le groupe Lagunaire est arrivé en plusieurs vagues du Sud-Est, c’est-à-dire du Ghana, et réunit les Abé, Atié, Abouré, Ebrié, Brignan, Alladian, Appoloniens, Abi, Fanti, tous d’origine ethnique Akan. Enfin, également du Ghana d’autres Akan sont venus plus tard, comme les Abron et les Agni, qui se répartissent le long de la frontière ghanéenne. Quand aux Baoulé, appartenant au groupe Akan des Ashanti , ils occupent essentiellement la région centre, où ils sont en contact avec les Gouro, à l’ouest, et les Gagou, au sud. Au delà de cette classification qui ne represente pas une liste exautive, d’autres ethnies se sont mélangées aux précédentes ou existe encore en très petits noyaux, notamment dans les montagnes de l’ouest ou dans les forêts. Il est évident qu’il s’est produit, surtout depuis les dernières décennies, un brassage de populations important, notamment dans les grandes villes. De plus, la création du barrage de Kossou a provoqué une certaine émigration des paysans délogés par les eaux vers la région peu peuplée du Sud-Ouest. Cependant, jusqu’à présent coutumes et traditions sont restées très vivantes et composent un fonds culturel dune immense richesse. Sans prétendre avoir la possibilité, en quelques semaines, d’en apprendre l’essentiel, vous pourrez au cours des multiples conversations qu’il vous faudra provoquer, vous enrichir culturellement! |
Alors, j'ai réactualisé les infos en terme de tarifs et d'autres éléments!
La vie est moins chère pour le touriste à Abidjan depuis la dévaluation du Franc CFA. Les prix ont été sévèrement contrôlés, et généralement il n'ya pa eu de dérapages et dans les hôtels de haut standing, les prix seront sensiblement les mêmes qu’en France ou moins élevés.
On peut trouver des chambres climatisées avec salle d’eau et sanitaires pour 19€ environ. Le prix des repas est variable, mais on trouve fréquemment des plats garnis pour environ 7.5€ et moins dans les maquis (petits restaurants populaires). Les campeurs et les pique-niqueurs peuvent s’en tirer à bon compte à condition d’acheter uniquement des produits locaux au marché qui ont l'avantage d'être de très bonne qualité et bio. Les transports urbains sont bon marché : les autobus verts d’Abidjan coûtent entre 0.25€ en ville et 0.50€ pour la banlieue. La prise en charge des taxis à Abidjan est de 0.15€ A titre indicatif, un trajet de Cocody au Plateau atteint facilement 1.5€. Mais dans les villes de l’intérieur, le tarif est très bas pour les taxis populaires appelés "woro woro" où le taxi est partagé avec d'autres voyageurs: 0.20€ la course tant que le périmètre urbain n’est pas dépassé. Les tarifs des taxis de brousse et autres véhicules interurbains changent souvent ! Les locations de voitures sont onéreuses parce que le choix est souvent limité à des voitures haut de gamme. A cela il faut ajouter une assurance obligatoire couvrant la voiture, une autre facultative, mais bien utile, concernant le conducteur et les personnes transportées, le prix de l’essence (1€ le litre de super, 0.60€ le gasoil mais cela dépend aussi du cours du pétrole saachant qu'à abidjan les prix ne fluctuent pas beaucoup à la pompe étant donné les ressources pétrolières du pays). Les pourboires n’existent pas dans les hôtels, excepté les pièces données au bagagiste. Théoriquement, c’est la même chose dans les restaurants mais on ne vous les refuse pas ! Il ne faut surtout pas oublier d'avoir de la monnaie sur soi pour éviter de sortir à tout va des liasses de billet qui risque d'attirer l'attention des pick pocket! |
Pour savoir ce qu'emporter dans sa valise tout de même!
Trois zones climatiques : Le climat subéquatorial Le long de la région côtière (axe Abidjan- San Pedro), est caractérisé par des températures aux amplitudes faibles, une forte humidité et des précipitations abondantes. Cette zone connaît quatre saisons : Une saison sèche et chaude entrecoupée de quelques plues de décembre à avril ; Une saison de grandes pluies de mai à juillet ; Une petite saison sèche d’août à septembre ; Une petite saison de pluies d’octobre à novembre. Le climat tropical humide S’étend sur la zone forestière et le sud de la région des savanes . Caractérisé par des amplitudes aux températures plus importantes que la zone côtière, (pourcentage d’humidité atteignant 70 % et des pluies allant de 1 200 mm à bouaké et de 2 300 mm à Danané), cette zone connaît également : Une saison de grandes pluies de juin à octobre ; Une saison de petites pluies de mars à mai ; Une petite saison sèche de juillet à Août. Le climat de type soudanais S’étend sur la zone des savanes à l’exclusion de sa partie méridionale. Il est caractérisé par des amplitudes thermiques quotidiennes et annuelles relativement importantes, une humidité relativement inférieure à celle du sud du pays entre 40 et 50 % , et par la présence intermittente d’un vent froid et sec, l’harmattan entre décembre et février. Cette zone connaît deux saisons : Une saison des pluies en avril Une saison sèche de novembre à juin avec quelques pluies de juillet à octobre.http://tourismeci.org/climat.htm |