Reprenons au début ... mercredi, je sors de l'hôpital resultats en poche. Tout semblait saisfaisant. Vendredi au moment d'aller au cours d'informatique des crampes insupportables, dans les mollets, les pieds, la main droite et la machoire. J'appelle le service dans lequel j'avais été opéré, on me recommande d'appeler les urgences. Pas douillette, je me dis qu'avec une bonne nuit tout rentrerait dans l'ordre.
J'en déduis que la chaleur est responsable. Nuit agitée, car cela lançait dans ma carcasse. Samedi matin, de nouveau les chevilles gonflées comme des poteaux. Cette fois, Je me décide à appeler les urgences ... scénario catastrophe .. l'hôtesse me dit de prendre le samu, ou un taxi que le chirurgien est prévenu et que l'on m'attend ... Un peu secouée, je me dis q'il y avait peut-être matière à s'inquiéter. Je demande au mari de m'y conduire .. pas très content (!!) car il avait le nez et les mains dans les freins de la voiture de mon fils. Nous arrivons et là .. une heure d'attente, je m'énerve un peu !, je rapelle le service qui précise que le chirurgien n'était pas de garde ... Me prendrait-on pour une imbécile ? Mais c'est que ces fichues crampes sont revenues .. et que je ne trouve pas de position pour m'en débarasser. Enfin une interne .. ! on me plaque des petite ventouses autour d'un sein, sur les jambes pour vérifier le coeur. Malheur, les résultats ne sont pas bons !! .... quelques passages à vide, prise de sang expédition en urgence pour connaître le taux de calcium et au bout du compte, figures sinistres, je suis bien au dessous du seuil minimal On me fait une perfusion ... et l'indice ne remonte pas suffisamment. Bref ... 20h le verdict tombe, je passerai le pont de la Pentecôte dans le service pour une surveillance assidue.
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