Elevage amateur, familial, la définition n'est toujours pas bien définie
Pour suivre mon ami (devenu mari), je suis partie en Allemagne
en 1973 et là j'ai découverts d'autres moeurs.
Une propreté exemplaire ... du sucré salé ... des accessoires
pour présenter des compositions alimentaires, je me suis retrouvée
a faire des recettes intuitives (confitures de sureau par exemple)
J'habitais à côté de Hambourg et je gardais la voiture (simca 1000)
pour découvrir la région.
Chaque mois nous revenions en France et mon mari n'ayant pas son
permis, je passais toutes les frontières bien que lui conduise
(son oncle tenait un garage, et il connaissait le maniement depuis ses
14 ans, mais ne voulait pas passer le "permis de tuer" disait-il).
Ma gamine ne parlait pas encore et les journées étaient longues
alors j'ai acheté un couple de perruches ondulées (blanche et bleu,
pensant faire du bleu ciel !!!), dans une animalerie où on aurait
pu manger par terre, tant le sol était propre.
Je n'avais aucune notion de génétique, alors je me suis prise au jeu
j'ai racheté un autre couple de vert et jaune ... jusqu'à en avoir
7 couples ! (quand on aime, on ne compte pas).
De retour définitif en France après 18 mois, nous avons trouvé
un F3 dans un petit HLM soigné et j'ai lâché mes perruches
dans une pièce. Quelques temps après une invasion de bébés !!!
Je ne savais pas que ces "oiseaux" là occupent l'espace ...
dont ils disposent. Avec tous les souvenirs accumulés, lors de
ce déplacement à l'étranger, inutile d'envisager de leur tordre le cou.
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